La finance positive plébiscitée par les investisseurs 

La finance positive plébiscitée par les investisseurs 

La finance positive plébiscitée par les investisseurs  1024 685 Côme

Plus de trois-quarts des Français déclarent que le secteur de la finance doit prendre toutes ses responsabilités pour aider notre société à repenser ses fondamentaux en raison de la pandémie de Covid-19 et de son impact sur nos vies et nos économies. Tel est le résultat d’une étude exclusive réalisée par le Côme, Le Family Office, en partenariat avec Happydemics, solution d’études d’opinion et marketing.

Non seulement la finance doit-elle prendre ses responsabilités, mais les investisseurs (particuliers ou professionnels) semblent prêts à les endosser concrètement. Plus des deux-tiers des investisseurs que nous avons interrogés déclarent qu’ils sont susceptibles de faire évoluer leur portefeuille d’investissements en fonction de critères de finance positive.

Sans surprise les grands axes du débat public sur la refondation de notre modèle économique et social, tels la relocalisation ou le soutien aux circuits courts sanitaires et alimentaires, sont des critères que 30 à 40% des investisseurs disent vouloir mieux intégrer dans la finance positive. De manière plus fine, l’investissement dans des PME innovantes est soutenu dans les mêmes proportions que les grands axes précédents. L’importance de l’investissement dans les entreprises non cotées (c’est à dire la pratique du Private Equity), autour de nos différents pôles régionaux de compétitivité et d’innovation, est ainsi soulignée par les investisseurs pour contribuer à dessiner de nouvelles solutions aux grands enjeux auxquels nos sociétés sont confrontées.

Données détaillées issues de l'étude Côme et Happydemics

01/
Diriez-vous que la finance aura des responsabilités nouvelles pour aider nos économies et nos sociétés à être refondées en raison de la pandémie de Covid-19 ?

Sur la base de 770 répondants

Oui tout à fait
Oui plutôt
Non plutôt pas
Non absolument pas

02/
En tant qu’investisseur (boursicoteur, professionnel, business angel, etc.) envisagez-vous d’adopter des critères d’investissement responsable pour refonder nos sociétés ?

Sur la base de 451 répondants qui se déclarent investisseurs à titre personnel ou professionnel

Oui certainement
Oui probablement
Non probablement pas
Non certainement pas

03/
En tant qu’investisseur, diriez-vous que vous êtes susceptible de faire évoluer concrètement votre portefeuille pour mieux intégrer des critères responsables et positifs ?

Sur la base de 451 répondants qui se déclarent investisseurs à titre personnel ou professionnel

Oui tout à fait
Oui plutôt
Non plutôt pas
Non absolument pas

04/
Parmi les critères suivants, quels sont selon vous ceux que la finance positive et responsable devrait mieux intégrer ?

Sur la base de 451 répondants qui se déclarent investisseurs à titre personnel ou professionnel

Relocalisation des industries en France
Soutien aux PME innovantes en matière médicale alimentaire et environnementale
Développement des circuits courts alimentaires
Développement des circuits courts sanitaires (médicaments etc.)
Développement des énergies durables
Soutien aux entreprises du secteur de l'économie solidaire
Création de nouveaux modèles de partage des richesses (coopératives...)
Autre

05/
Qui sont selon vous les acteurs qui doivent favoriser en priorité l’essor de la finance positive et responsable ?

Sur la base de 451 répondants qui se déclarent investisseurs à titre personnel ou professionnel

Les banques mutualistes et coopératives (Crédit Mutuel Crédit Agricole etc.)
Les groupes bancaires de réseau (Société Générale BNP Paribas etc.)
Les institutions publiques (Etat UE collectivités etc.)
Les banques privées (Milleis HSCB Private Banking etc.)
Les fonds d'investissement et de gestion
Les conseillers en gestion de patrimoine
Les family offices
Autre

À propos de l'étude

Etude de Côme, Le Family Office, réalisée via Internet les 22 et 23 avril 2020 par Happydemics auprès d’un échantillon représentatif (CSP, genre, région) de 770 Français de 35 ans et plus. La marge d’erreur maximale de l’étude est de 4% sur l’échantillon complet (5% sur le sous-ensemble des 451 répondants investisseurs).