Articles par :

Côme

Échos de nos start-ups 1024 685 Côme

Échos de nos start-ups

Il y a 6 mois Côme misait sur le talent et le succès de Tarek Ouagguini et Nicolas Trabuc, fondateurs de Happydemics, pépite française s’étant taillée une place de choix dans le secteur des études de marché internationales, pour laquelle Le Family Office avait mené un tour de table de 5 millions d’euros. Nous sommes heureux de les accompagner et les félicitons pour leur nouvelle levée de fonds de 3 millions d’euros dont Les Échos, L’Usine Digitale ou encore Frenchweb parlent.

En parallèle d’autres start-ups accompagnées par Côme font parler d’elles. Bodyguard, spécialisée dans la protection de la réputation et la modération des échanges en ligne, a déployé ses services et solutions pour modérer la conversation autour de la première interview données par Emmanuel Macron, président de la République, au média en ligne Brut.

Nicolas Gerlier, fondateur de La Bouche Rouge, donne un long entretien aux Echos pour partager sa vision d’une beauté résiliente et durable dans une société dont les codes ont rapidement changé.

Move & Rent, acteur de l’économie de l’accès, spécialisé dans la location de meubles, est en belle place dans les colonnes du JDD.

À Dauphine pour en dire plus 1024 685 Côme

À Dauphine pour en dire plus

Les 6 derniers mois ont bousculé nombreuses de nos certitudes, ils ont contrarié bien des habitudes, et il est justement bon que nous puissions encore nous retrouver pour en débattre, pour dessiner non pas “le monde de demain”, mais les horizons vers lesquels nous choisissons de naviguer avec détermination.

C’est pourquoi Julien Magitteri, fondateur et associé-gérant de Côme, Le Family Office, est heureux d’avoir été invité par la House of Finance de Dauphine, et ses partenaires Sanso IS, Quantalys et La Française, à la 7èmeédition de l’Université d’été de l’Asset Management, pour répondre à la question “Investir après la crise ? La réalité des investisseurs.”

Trois axes ont structuré l’intervention de Julien Magitteri : la confiance, la transparence et l’engagement. Il a d’abord évoqué la clientèle de Côme, composée de profils d’entrepreneurs âgés de 45 ans en moyenne, qu’il qualifie de “génération du plus” : plus jeune, plus engagée, cherchant plus de sens mais aussi plus de rendements. Pour répondre à ces attentes potentiellement contradictoires, la mission de Côme est simple et exigeante à la fois : protéger les intérêts des clients. Si les performances maximales sont difficiles à atteindre selon cette stratégie, cette dernière permet de préserver les capacités d’action et d’investissement des clients à moyen et long terme, surtout dans des époques contrariées par des événements dont les conséquences sont encore par trop imprévisibles.

Près de 400 personnes ont suivi en direct cet événement que vous pouvez revoir ici et dont nous vous proposons un compte rendu écrit ci-dessous.

Compte rendu de la table ronde (les textes fournis sont synthétiques, non verbatim, seul le prononcé faisant foi).

Participants : Charles-Henri d’Auvigny, Président, F2iC ; Jean-François Boulier, Président d’honneur, AF2i ; Martial Godet, Responsable Advisory & Execution, BNP Paribas Wealth Management ; Julien Magitteri, Associé Gérant-Fondateur, Côme ; François de Varenne, CEO, SCOR GI.

Comment, face à cet arrêt brutal d’activité et cette chute massive des marchés, les investisseurs institutionnels réagissent-ils ?

François de Varenne : En période de choc ou de forte hausse de la volatilité, la mission est de protéger la valeur de ses actifs plutôt que d’aller chercher instantanément des opportunités sur le marché et de profiter des dislocations que l’on peut voir. On a deux moyens de le faire :

  • Soit une utilisation abondante de produits dérivés ;
  • Soit on le fait en cash, en réduisant l’exposition aux classes d’actifs risqués, en attendant que ça passe avant de redéployer.

Début mars, le cash fut investi en risque souverain, de bonne qualité sur chacune des devises, à très court terme. Nous pensions que la crise allait durer plus longtemps, mais le marché s’est quand même remis assez vite en mode risk on. Début juin, nous avons réinvesti sur du A+/BBB, sur des secteurs hors aviation, hôtellerie, auto, mais essentiellement du Private Equity, de la dette privée, de l’infrastructure.

Est ce qu’il y a une unité ou au contraire, des réactions différentes de la part des investisseurs institutionnels ?

Jean- François Boulier : Les gens ont compris qu’il fallait anticiper, ont compris que la valeur était une chose, mais que la liquidité en était une autre et que ces différentes notions ne remplissent pas forcément les mêmes besoins.

Un grand nombre des investisseurs institutionnels ont tout de même été opportunistes dans cette période, c’est à dire qu’ils ont été acheter des actifs risqués. D’ailleurs, les investisseurs particuliers l’ont fait aussi. Cela est dû au fait que nous avions affaire à une crise qui n’est pas une crise économique, mais dont la racine était une question hors de la sphère économique.

En revanche, le secteur de la santé était un secteur extrêmement important pour la partie économique et on s’est rendu compte qu’il n’y avait pas que des éléments strictement économiques, mais qu’il y avait les éléments de souveraineté. Je crois que cela a été une grande leçon pour les investisseurs institutionnels également. Investir dans son pays, c’est investir dans la souveraineté de son pays et dans sa capacité à répondre aux besoins vitaux de sa population, en particulier en matière de santé.

Qu’en est-il du côté des particuliers ?

Charles-Henri d’Auvigny : Derrière des asset managers, il y a des particuliers qui leur confie leur argent.

C’est la troisième crise boursière que le particulier subit. On avait toujours dit que le particulier vendait au son du canon et achetait au son du violon. Là, cette année, il a compris la leçon et il a acheté au son du canon et vendu au son du violon.

Quand on parle d’actions, il faut bien savoir que tous les sondages disent que les Français n’aiment pas la Bourse, n’aiment pas les investissements. Oui, parce que 50% d’entre eux n’ont pas cette capacité d’épargne. Maintenant, les autres 50% sont prêts à investir et à aller vers les entreprises et donc vers un investissement qui donne du sens aussi.

Comment a réagi cette population qui, tout comme les professionnels, n’était pas préparée à cette crise ?

Julien Magitteri : Je pense que tout le monde s’en rend compte aujourd’hui. Vous avez un stock d’épargne conséquent, 5.300 milliards d’euros. Et puis derrière cela vous avez une coordination des banques centrales, des plans de relance. Finalement, un monde assez aseptisé ou assez normalisé. De l’autre côté, un tempérament, un comportement, des investisseurs complètement et radicalement différents.

Ce qui la caractérise, c’est confiance, une confiance durable. Parce qu’encore une fois, je pense que l’ensemble de cet environnement peut être mieux maîtrisé. Et puis, je pense qu’il y a un engagement de la part de tous les professionnels que nous sommes. C’est cette notion de transparence et d’engagement.

Je pense qu’on a tous été sur le front pendant cette période et je pense que les épargnants s’en rendent compte. On dit souvent qu’on a les clients qu’on mérite. Chez Côme nous avons une clientèle dont la moyenne d’âge tourne autour de 45 ans, avec des profils d’entrepreneurs. Je les appelle la génération du plus. Ils sont plus jeunes, ils monétisent plus tôt. Ils sont beaucoup plus engagés et ils veulent donner beaucoup plus de sens à leur investissement et ils veulent beaucoup plus de rendements. Cette équation, il faut savoir y répondre. Une citation que j’apprécie particulièrement c’est que la réussite, est la combinaison de trois facteurs. C’est bien évidemment le travail, c’est l’intelligence de la situation, et puis surtout, c’est la chance.

On a commencé l’année avec un investissement en equity extrêmement limité sur la partie cotée puisqu’on devait être exposé à 10%. Je trouvais qu’il y avait une dé-corrélation complète entre l’économie et les marchés, et l’important était de protéger les intérêts de mes clients. On a envisagé deux scénarii. Le scénario de fin du monde et le scénario où, finalement, cette crise allez assez rapidement être effacée par l’arrivée d’un vaccin.

Dans ces circonstances, vous nourrissez une relation de confiance. L’ensemble des épargnants a voulu investir, mais investir avec du sens. On doit repenser ensemble de quelle manière réutiliser cette épargne, je pense que c’est un travail collectif, de banquiers, de gérants, que d’assumer cette transparence, cette communication.

Nos clients sont positifs depuis le 1er janvier. Donc pragmatisme, proactivité avec un bon équilibre, une bonne allocation d’actifs avec une sélection fine, des solutions d’investissement et puis avec une bonne équipe, des bonnes équipes de gestion.

Martial Godet :  On a quand même vu entre 2016 et 2019, un bon millésime, un millésime moyen et deux millésimes catastrophiques. Donc, quelque part, entre des performances de la gestion active tout à fait médiocre, entre des niveaux de valorisation qui, à l’entrée de la crise, étaient quand même très élevés, on avait du mal, honnêtement, à orienter nos clients vers quoi que ce soit, à part le Private investment.

Effectivement, on a vu une tendance qui était très bonne depuis 3/4 ans. Mais sur les actifs liquides ou relativement liquides, il y avait quand même des gros points d’interrogation quant à la capacité d’offrir des solutions qui avaient un rapport qualité prix intéressant pour nos clients. Donc, même si certains fonds et certains clients perdent encore de l’argent, il ne faut pas se voiler la face, depuis le début de l’année ou sur un an, on se retrouve aujourd’hui avec des portefeuilles beaucoup plus intéressants que ce qu’on avait il y a 9 ou 12 mois.

Maintenant on a une offre thématique tout à fait intéressante, tout à fait ciblée, à la fois en actif et passif. Et puis, évidemment, on a cet énorme développement de l’intégration ESG. Ça donne du sens aux actifs de nos clients. Ça nous permet surtout de mieux comprendre leurs objectifs.

On peut se dire que même si on est revenu sur des niveaux de valorisation très élevés, même si on perd peut-être à cause des banques centrales, je pense que nos clients savent beaucoup mieux pourquoi et comment ils sont investis. Je pense qu’ils sont contents d’avoir bénéficié de l’opportunité et qu’ils sont prêts à rester investis dans un contexte de liquidités très abondantes.

On parle de défis et de réponses aux défis, mais quels sont les points de vigilance majeurs de la situation que nous rencontrons pour composer ces portefeuilles ou pour élaborer une stratégie à moyen, long terme ou court terme ?

Martial Godet : Les cartes sont rebattues, on voit une vraie redistribution des parts de marché, des dynamiques. C’est vrai pour les producteurs, c’est évidemment vrai pour les distributeurs, puisqu’il faut qu’on comprenne toujours mieux les objectifs et les attentes de nos clients.

Il faut peut-être qu’on soit encore meilleur sur le reporting. L’ESG, l’ISR et l’impact investing, par le fait que les clients ont une exigence sur ces facteurs-là, remontent l’intégralité du niveau du reporting.

L’industrie financière est mauvaise sur les reportings, donc là, on a une obligation en 2020 d’avoir des reportings clairs avec du quantitatif, avec du qualitatif, avec de la simulation, le cas échéant, avec des indicateurs personnalisés.

Et l’autre qualité, c’est la capacité à répondre aux clients du tac au tac, c’est à dire que les délais en disant on vous répond dans trois jours, dans une semaine, ça, c’est fini. Donc, il y a une espèce de focus sur la qualité qui tentera de dépasser l’espèce de d’industrialisation.

Jean- François Boulier : c’est important de se poser les questions de : Qu’est ce qui change ? Sur quoi travailler ? Qui est en train d’évoluer ? Je crois que cette crise n’est pas tellement une crise qui est en train de faire changer, mais qui est en train d’accélérer et de faire accélérer.

Maintenant, on est plus exigeants. Ce n’est pas uniquement la performance de court terme, mais qu’est-ce que ça change ? Qu’est-ce que cela va changer dans ma vie ? Qu’est-ce que ça va changer dans notre vie économique, dans la vie des populations, etc. Et ça résonne extrêmement fort avec les épargnants qui comprennent ça alors qu’ils ne comprennent pas les questions de finance ou de taux d’intérêts.

Le deuxième thème reste beaucoup plus technique, beaucoup plus marché, c’est que le facteur investing est absolument en train de dominer et de montrer sa force dans les stratégies d’investissement des institutionnels. Peut-être pas quelque chose qui se vend beaucoup aux particuliers parce qu’il faut expliquer ça et ce n’est pas très facile. Mais chez les institutionnels, ça a montré toute sa pertinence sur les actions. C’est en train d’arriver de façon très forte sur les obligations. C’est un élément fort qui est en train de montrer que le taux de rentabilité, c’est insuffisant. Il faut aller regarder d’autres caractéristiques qui sont déterminantes sur le moyen long terme d’une amélioration de la valorisation.

Le troisième sujet dont on n’a pas trop parlé, mais qui me paraît être lié au thème du risque de l’inflation, c’est tout ce qui est crypto. Tout d’un coup, toute une série de nouveaux intervenants sur ce secteur-là. Il y a des banques qui sont en train d’offrir des services crypto et donc on sent que le monde est en train de changer. On le sait, les blockchains permettent de faire des économies phénoménales sur le traitement. Phénoménal sur le plan réglementaire parce que tout est tracé. Du coup, je pense qu’il y a une alternative possible et je crois que c’est utile d’aller regarder ces éléments nouveaux.

Julien Magitteri :  Cette crise est bien évidemment polymorphe. Elle est avant tout sanitaire, économique, sociale. Je pense qu’elle peut se transformer en crise politique et cette crise politique, rappelons-nous quand même qu’on a une échéance dans deux mois, ce sont les élections américaines. S’il y a une modification des paradigmes politiques internationaux, avec bien évidemment des relations géopolitiques qui seront complètement différentes eu égard à ce qui se présente aux Etats-Unis, je pense que ça peut influencer le reste du monde.

L’autre principe, c’est que bien évidemment, toutes les mesures fiscales peuvent être complètement anéanties ou modifiées. Cette stabilité nos clients l’attendent, et là je pense que c’est un point de convergence, quelle que soit la segmentation des clients.

L’autre inquiétude que j’ai concerne plutôt les consommateurs, les épargnants. Je trouve que les banques ont fait un mauvais choix. Aujourd’hui, les épargnants sont complètement délaissés dans leurs choix d’investissement. Pour moi, il est juste mal orienté et si on souhaite maintenir cet engagement de la part des épargnants sur des solutions d’investissement, je pense que nous tous, on doit pouvoir s’engager par la transparence. On a parlé des frais et par la qualité de la distribution, par la transparence des informations et plus que jamais dans ce monde ultra complexe, même nous, en tant que professionnels, nous avons une multitude d’informations avec un temps maintenant minime. On l’a dit tout à l’heure, il faut être toujours dans la réactivité. Je plains l’épargnant qui est là seul avec son stock d’épargne.

Mais moi, l’adage que j’aime beaucoup, c’est qu’aujourd’hui, dans le monde dans lequel nous vivons, ce n’est bien évidemment pas les plus gros qui mangent les plus petits, mais les plus rapides qui mangent les plus lents. Et tant mieux pour nous Family Office puisqu’on a vocation à accélérer notre développement.

Gestion personnalisée et ouverte 1024 685 Côme

Gestion personnalisée et ouverte

La personnalisation, des expériences, et l’ouverture, des données, figurent parmi les préceptes clés des usages qui naissent à la faveur du développement du numérique dans tous les pans de nos sociétés et économies. Côme, Le Family Office, ayant été pensé dès l’origine comme une start-up financière destinée à des entrepreneurs de la génération du plus (plus jeune, engagée et exigeante), c’est tout naturellement que nous mettons la finance en mouvement pour une gestion des investissements toujours plus personnalisée et ouverte.

En mai dernier nous vous présentions notre nouvelle offre de gestion sous mandat élaborée par M&G et Sanso Investments en exclusivité pour Côme. Ce mois-ci Brice Anger, directeur général de M&G France, François Lhenoret, directeur du développement de Sanso Investment Solutions, et Julien Magitteri, fondateur Côme, ont eu l’occasion de revenir sur leur approche commune à l’invitation de Décideurs Magazine.

Forts de l’expertise de M&G et de ses 400 milliards d’actifs sous gestion au niveau européen, ainsi que de l’approche sur mesure proposée par Sanso, c’est un tout nouveau produit financier qui a été lancé en exclusivité avec Côme. Dépassant la logique de l’investissement dans des fonds désignés, c’est une architecture financière ouverte qui est mise en place pour personnaliser les portefeuilles d’investissement, toujours avec une volonté commune de donner du sens aux choix ainsi effectués.

Nous vous invitons à découvrir leurs échanges sur le plateau de Décideurs Magazine.

En 2021 le Family Office Fair/e est devenu Côme, Le Family Office. Les mentions ainsi faites par Julien Magitteri renvoient à l’activité de notre family office..
Meet Julien Magitteri 1024 685 Côme

Meet Julien Magitteri

Si vous êtes arrivés ici, sur le site de Côme, Le Family Office, sans bien nous connaître encore, nous vous invitons à faire plus ample connaissance avec Julien Magitteri, fondateur de Côme, grâce au regard intelligent et intimiste que Meet Le Mag a posé sur lui.

Des convictions forgées dès l’enfance aux valeurs qui ne l’ont jamais quitté, en passant par tout le chemin parcouru, c’est un coin de voile que la journaliste Carine Dany lève avec finesse dans cet article accessible en exclusivité pour nos visiteurs ici en PDF.

De nouvelles opportunités exclusives chez Côme 1024 685 Côme

De nouvelles opportunités exclusives chez Côme

Côme, toujours en pointe des expérimentations de diversification de gestion et des recherches de solutions responsables et positives dans le domaine de la finance, est fier d’annoncer être le principal sponsor de l’offre “M&G by Sanso”, premier mandat de gestion à destination des Family Offices appuyé sur M&G Investments, l’un des principaux gérants d’actifs en Europe, et géré par la société de gestion Sanso Investment Solutions.

Lancé le 1er avril dernier malgré un contexte de marché extrêmement perturbé, le mandat “M&G by Sanso” a su tirer parti d’un point d’entrée opportun et enregistrer une performance positive grâce à l’association du savoir-faire de Sanso IS en matière de gestion sous mandat, de sélection de fonds et de gestion diversifiée et de M&G en termes d’allocation d’actifs globale sur les actions, les obligations et les devises. M&G agit en tant que conseil de Sanso IS pour l’allocation et la sélection des fonds M&G.

Ce mandat géré pour le compte des clients de Côme, Le Family Office, s’articule autour de deux profils de risques. Un premier profil “modéré” dont l’exposition aux actions varie entre 0 et 30% et un profil plus dynamique dont l’exposition aux actions peut varier entre 40 et 100%. “M&G by Sanso” pourra être souscrit en compte titre et en assurance vie en France et au Luxembourg.

Pour Brice Anger, Directeur Général de M&G France : “Cette solution d’investissement adressée aux clients d’un Family Office est une première pour M&G en France dans la mesure où nos mandats étaient jusqu’à présent réservés uniquement aux investisseurs institutionnels. Cette initiative s’inscrit parfaitement dans la stratégie de M&G d’accompagner les besoins des Family Offices et de leurs clients au travers d’une gestion sur-mesure et d’une expertise reconnu en allocation d’actifs.”

Pour David Kalfon, Président de SANSO Investment Solutions : “Nous sommes très heureux de nous associer à un partenaire aussi prestigieux que M&G pour offrir une solution de gestion innovante à nos clients Family Office.”
Les clients de Côme, qui bénéficient d’une période d’exclusivité, ont déjà largement investi dans cette nouvelle offre.
La finance positive plébiscitée par les investisseurs  1024 685 Côme

La finance positive plébiscitée par les investisseurs 

Plus de trois-quarts des Français déclarent que le secteur de la finance doit prendre toutes ses responsabilités pour aider notre société à repenser ses fondamentaux en raison de la pandémie de Covid-19 et de son impact sur nos vies et nos économies. Tel est le résultat d’une étude exclusive réalisée par le Côme, Le Family Office, en partenariat avec Happydemics, solution d’études d’opinion et marketing.

Non seulement la finance doit-elle prendre ses responsabilités, mais les investisseurs (particuliers ou professionnels) semblent prêts à les endosser concrètement. Plus des deux-tiers des investisseurs que nous avons interrogés déclarent qu’ils sont susceptibles de faire évoluer leur portefeuille d’investissements en fonction de critères de finance positive.

Sans surprise les grands axes du débat public sur la refondation de notre modèle économique et social, tels la relocalisation ou le soutien aux circuits courts sanitaires et alimentaires, sont des critères que 30 à 40% des investisseurs disent vouloir mieux intégrer dans la finance positive. De manière plus fine, l’investissement dans des PME innovantes est soutenu dans les mêmes proportions que les grands axes précédents. L’importance de l’investissement dans les entreprises non cotées (c’est à dire la pratique du Private Equity), autour de nos différents pôles régionaux de compétitivité et d’innovation, est ainsi soulignée par les investisseurs pour contribuer à dessiner de nouvelles solutions aux grands enjeux auxquels nos sociétés sont confrontées.

Données détaillées issues de l'étude Côme et Happydemics

01/
Diriez-vous que la finance aura des responsabilités nouvelles pour aider nos économies et nos sociétés à être refondées en raison de la pandémie de Covid-19 ?

Sur la base de 770 répondants

Oui tout à fait
Oui plutôt
Non plutôt pas
Non absolument pas

02/
En tant qu’investisseur (boursicoteur, professionnel, business angel, etc.) envisagez-vous d’adopter des critères d’investissement responsable pour refonder nos sociétés ?

Sur la base de 451 répondants qui se déclarent investisseurs à titre personnel ou professionnel

Oui certainement
Oui probablement
Non probablement pas
Non certainement pas

03/
En tant qu’investisseur, diriez-vous que vous êtes susceptible de faire évoluer concrètement votre portefeuille pour mieux intégrer des critères responsables et positifs ?

Sur la base de 451 répondants qui se déclarent investisseurs à titre personnel ou professionnel

Oui tout à fait
Oui plutôt
Non plutôt pas
Non absolument pas

04/
Parmi les critères suivants, quels sont selon vous ceux que la finance positive et responsable devrait mieux intégrer ?

Sur la base de 451 répondants qui se déclarent investisseurs à titre personnel ou professionnel

Relocalisation des industries en France
Soutien aux PME innovantes en matière médicale alimentaire et environnementale
Développement des circuits courts alimentaires
Développement des circuits courts sanitaires (médicaments etc.)
Développement des énergies durables
Soutien aux entreprises du secteur de l'économie solidaire
Création de nouveaux modèles de partage des richesses (coopératives...)
Autre

05/
Qui sont selon vous les acteurs qui doivent favoriser en priorité l’essor de la finance positive et responsable ?

Sur la base de 451 répondants qui se déclarent investisseurs à titre personnel ou professionnel

Les banques mutualistes et coopératives (Crédit Mutuel Crédit Agricole etc.)
Les groupes bancaires de réseau (Société Générale BNP Paribas etc.)
Les institutions publiques (Etat UE collectivités etc.)
Les banques privées (Milleis HSCB Private Banking etc.)
Les fonds d'investissement et de gestion
Les conseillers en gestion de patrimoine
Les family offices
Autre

À propos de l'étude

Etude de Côme, Le Family Office, réalisée via Internet les 22 et 23 avril 2020 par Happydemics auprès d’un échantillon représentatif (CSP, genre, région) de 770 Français de 35 ans et plus. La marge d’erreur maximale de l’étude est de 4% sur l’échantillon complet (5% sur le sous-ensemble des 451 répondants investisseurs).

Conjuguer performance & durabilité – BFM Business 1024 685 Côme

Conjuguer performance & durabilité – BFM Business

Guillaume Sommerer accueillait le vendredi 24 avril Julien Magitteri, fondateur et associé-gérant de Côme, Le Family Office, sur BFM Business pour échanger sur des enjeux qui ont pu paraître contradictoires : épargner, ce que les Français sont prompts à faire, particulièrement en cette période de crise liée au Covid-19, et investir pour relancer l’économie et reconstruire nos sociétés.

Outre de riches échanges sur les tendances des marchés en Europe et dans le monde, sur la tentation de repli vers des valeurs refuges comme les livrets ou l’immobilier, Julien Magitteri a insisté sur la complémentarité nécessaire entre la performance et la durabilité des investissements. C’est bien cette logique de finance positive, soutenue par plus de 2/3 des investisseurs (particuliers, entrepreneurs, professionnels) selon les premiers résultats d’une étude exclusive menée par Côme en partenariat avec l’institut Happydemics les 22 et 23 avril auprès d’un échantillon représentatif de Français, qui permet de mettre la finance au service des enjeux de notre économie et de notre société.

Les stocks d’épargne et les flux d’échange d’une part, la durabilité et la performance de l’autre, doivent être conjugués ensemble, pour investir dans des start-up innovantes et utiles.

Retrouvez l’intégralité de l’échange sur le site de BFM Business ou directement ci-dessous.

En 2021 le Family Office Fair/e est devenu Côme, Le Family Office. Les mentions ainsi faites par Julien Magitteri renvoient à l’activité de notre family office..
Les entrepreneurs et le Private Equity 1024 685 Côme

Les entrepreneurs et le Private Equity

Le magazine des affaires a organisé une table ronde de bilan et de perspectives en matière de Private Equity, l’occasion pour Julien Magitteri de partager avec d’autres experts du secteur, Arnaud David, associé au sein du Département Private Equity de Goodwin, Nizar Chayeb, Directeur d’Investissements au sein de l’équipe Solutions d’Investissement en Fonds d’Essling Capital, Olivier Jarrousse, Associé Gérant d’UI Gestion, Pauline Wetter, membre de l’équipe d’investissement en fonds de fonds private equity chez LGT Capital Partners, ou encore François Tranié, associé dans le département Midcap de Meeschaert Capital Partners.

Valorisations et niveaux de multiples élevés dans un contexte macro-économique incertain ; cadence très rythmée des levées ; valeurs de responsabilité sociale, environnementale ou régionale ; volonté d’accompagnement des entreprises (notamment sur des territoires régionaux) au-delà d’une simple logique d’investissement figurent parmi les nombreuses problématiques décortiquées et débattues.

Julien Magitteri a notamment insisté sur la nouvelle dynamique que crée l’arrivée plus massive des entrepreneurs et des Family Offices qui les accompagnent dans le marché du Private Equity, eu égard notamment à des relations plus transparentes et directes entre les investisseurs et le management des entreprises bénéficiaires :

“Ces entrepreneurs souhaitent vérifier que ces solutions sont en adéquation avec leurs principes, leurs valeurs, leur conception des affaires. Ils connaissent parfaitement le domaine du Private Equity car il représente les problématiques qu’ils rencontrent au quotidien : gestion des équipes, orientations stratégiques, levées de fonds, en bref, le développement et la vie d’une entreprise. Idéalement, les entrepreneurs ont besoin d’avoir un contact direct avec le management et de comprendre les stratégies développées par ces sociétés.

Retrouvez le dossier complet dans le numéro de décembre 2019 du magazine des affaires, disponible ici.

La spécificité des Family Offices 1024 685 Côme

La spécificité des Family Offices

Julien Magitteri, associé-gérant et fondateur de Côme, Le Family Office, était l’invité lundi 1er avril de l’émission Intégrale placements sur BFM Business, l’occasion pour lui de préciser ce qui fait la spécificité des Family Offices dans le paysage de la haute finance : l’expertise, la transparence et la confiance.

Regardez l’émission ci-dessous ou directement sur le site de BFM Business.

En 2021 le Family Office Fair/e est devenu Côme, Le Family Office. Les mentions ainsi faites par Julien Magitteri renvoient à l’activité de notre family office..
Mouvement pour une Economie Bienveillante : faire de la bienveillance un principe de rationalité économique 1024 685 Côme

Mouvement pour une Economie Bienveillante : faire de la bienveillance un principe de rationalité économique

Côme, Le Family Office, rejoint le Mouvement pour une Economie Bienveillante, le #MEB.

Le MEB rassemble des entreprises bienveillantes, engagées et inclusives, qui partagent leur réussite et contribuent ainsi au progrès économique, social et environnemental au bénéfice de tous.

Convaincue qu’une entreprise bienveillante est plus performante et durable, Côme a signé la charte du MEB.

3 principes pour réconcilier le profit et la générosité

A l’initiative de Clara Gaymard et Gonzague de Blignières, les fondateurs de Raise, le MEB réunit des entreprises désireuses de réconcilier le sens et l’action, le monde économique et la société, en adoptant 3 principes simples : donner, agir, ensemble.

DONNER : Dédier, de façon automatique et permanente, une partie de ses ressources économiques à une action philanthropique. Cela peut prendre différentes formes. Par exemple, affecter a priori une partie de son chiffre d’affaires, de son bénéfice et/ou du temps des équipes à des projets généreux et sociaux.

AGIR : Consacrer l’action philanthropique à la raison d’être de l’entreprise, en faveur d’une cause de son propre secteur ou écosystème, afin de privilégier la logique d’impact et de nourrir le sens de l’action.

ENSEMBLE : Associer les salariés aux projets soutenus dont ils sont à la fois experts et acteurs. Les talents s’accomplissent dans une solidarité concrète.

Côme est acteur de la révolution positive, pour que demain soit meilleur qu’aujourd’hui

Il y a quelques mois, Côme a été retenue par le Global Positive Forum, sous le haut patronage d’Emmanuel Macron, en tant que leader dans sa catégorie pour contribuer à l’émergence d’une finance responsable et positive.

En signant la charte #MEB, Côme confirme sa volonté d’accélérer la révolution positive dans l’intérêt des générations futures, pour que demain soit meilleur qu’aujourd’hui.

Côme est désireuse de réconcilier la performance et le lien social, la finance et l’entreprise, avec la création prochaine d’un fonds de dotation philanthropique, dédié à l’accompagnement et à la transmission des savoir-faire d’exception français.