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De nouvelles opportunités exclusives chez Côme 1024 685 Côme

De nouvelles opportunités exclusives chez Côme

Côme, toujours en pointe des expérimentations de diversification de gestion et des recherches de solutions responsables et positives dans le domaine de la finance, est fier d’annoncer être le principal sponsor de l’offre “M&G by Sanso”, premier mandat de gestion à destination des Family Offices appuyé sur M&G Investments, l’un des principaux gérants d’actifs en Europe, et géré par la société de gestion Sanso Investment Solutions.

Lancé le 1er avril dernier malgré un contexte de marché extrêmement perturbé, le mandat “M&G by Sanso” a su tirer parti d’un point d’entrée opportun et enregistrer une performance positive grâce à l’association du savoir-faire de Sanso IS en matière de gestion sous mandat, de sélection de fonds et de gestion diversifiée et de M&G en termes d’allocation d’actifs globale sur les actions, les obligations et les devises. M&G agit en tant que conseil de Sanso IS pour l’allocation et la sélection des fonds M&G.

Ce mandat géré pour le compte des clients de Côme, Le Family Office, s’articule autour de deux profils de risques. Un premier profil “modéré” dont l’exposition aux actions varie entre 0 et 30% et un profil plus dynamique dont l’exposition aux actions peut varier entre 40 et 100%. “M&G by Sanso” pourra être souscrit en compte titre et en assurance vie en France et au Luxembourg.

Pour Brice Anger, Directeur Général de M&G France : “Cette solution d’investissement adressée aux clients d’un Family Office est une première pour M&G en France dans la mesure où nos mandats étaient jusqu’à présent réservés uniquement aux investisseurs institutionnels. Cette initiative s’inscrit parfaitement dans la stratégie de M&G d’accompagner les besoins des Family Offices et de leurs clients au travers d’une gestion sur-mesure et d’une expertise reconnu en allocation d’actifs.”

Pour David Kalfon, Président de SANSO Investment Solutions : “Nous sommes très heureux de nous associer à un partenaire aussi prestigieux que M&G pour offrir une solution de gestion innovante à nos clients Family Office.”
Les clients de Côme, qui bénéficient d’une période d’exclusivité, ont déjà largement investi dans cette nouvelle offre.
La finance positive plébiscitée par les investisseurs  1024 685 Côme

La finance positive plébiscitée par les investisseurs 

Plus de trois-quarts des Français déclarent que le secteur de la finance doit prendre toutes ses responsabilités pour aider notre société à repenser ses fondamentaux en raison de la pandémie de Covid-19 et de son impact sur nos vies et nos économies. Tel est le résultat d’une étude exclusive réalisée par le Côme, Le Family Office, en partenariat avec Happydemics, solution d’études d’opinion et marketing.

Non seulement la finance doit-elle prendre ses responsabilités, mais les investisseurs (particuliers ou professionnels) semblent prêts à les endosser concrètement. Plus des deux-tiers des investisseurs que nous avons interrogés déclarent qu’ils sont susceptibles de faire évoluer leur portefeuille d’investissements en fonction de critères de finance positive.

Sans surprise les grands axes du débat public sur la refondation de notre modèle économique et social, tels la relocalisation ou le soutien aux circuits courts sanitaires et alimentaires, sont des critères que 30 à 40% des investisseurs disent vouloir mieux intégrer dans la finance positive. De manière plus fine, l’investissement dans des PME innovantes est soutenu dans les mêmes proportions que les grands axes précédents. L’importance de l’investissement dans les entreprises non cotées (c’est à dire la pratique du Private Equity), autour de nos différents pôles régionaux de compétitivité et d’innovation, est ainsi soulignée par les investisseurs pour contribuer à dessiner de nouvelles solutions aux grands enjeux auxquels nos sociétés sont confrontées.

Données détaillées issues de l'étude Côme et Happydemics

01/
Diriez-vous que la finance aura des responsabilités nouvelles pour aider nos économies et nos sociétés à être refondées en raison de la pandémie de Covid-19 ?

Sur la base de 770 répondants

Oui tout à fait
Oui plutôt
Non plutôt pas
Non absolument pas

02/
En tant qu’investisseur (boursicoteur, professionnel, business angel, etc.) envisagez-vous d’adopter des critères d’investissement responsable pour refonder nos sociétés ?

Sur la base de 451 répondants qui se déclarent investisseurs à titre personnel ou professionnel

Oui certainement
Oui probablement
Non probablement pas
Non certainement pas

03/
En tant qu’investisseur, diriez-vous que vous êtes susceptible de faire évoluer concrètement votre portefeuille pour mieux intégrer des critères responsables et positifs ?

Sur la base de 451 répondants qui se déclarent investisseurs à titre personnel ou professionnel

Oui tout à fait
Oui plutôt
Non plutôt pas
Non absolument pas

04/
Parmi les critères suivants, quels sont selon vous ceux que la finance positive et responsable devrait mieux intégrer ?

Sur la base de 451 répondants qui se déclarent investisseurs à titre personnel ou professionnel

Relocalisation des industries en France
Soutien aux PME innovantes en matière médicale alimentaire et environnementale
Développement des circuits courts alimentaires
Développement des circuits courts sanitaires (médicaments etc.)
Développement des énergies durables
Soutien aux entreprises du secteur de l'économie solidaire
Création de nouveaux modèles de partage des richesses (coopératives...)
Autre

05/
Qui sont selon vous les acteurs qui doivent favoriser en priorité l’essor de la finance positive et responsable ?

Sur la base de 451 répondants qui se déclarent investisseurs à titre personnel ou professionnel

Les banques mutualistes et coopératives (Crédit Mutuel Crédit Agricole etc.)
Les groupes bancaires de réseau (Société Générale BNP Paribas etc.)
Les institutions publiques (Etat UE collectivités etc.)
Les banques privées (Milleis HSCB Private Banking etc.)
Les fonds d'investissement et de gestion
Les conseillers en gestion de patrimoine
Les family offices
Autre

À propos de l'étude

Etude de Côme, Le Family Office, réalisée via Internet les 22 et 23 avril 2020 par Happydemics auprès d’un échantillon représentatif (CSP, genre, région) de 770 Français de 35 ans et plus. La marge d’erreur maximale de l’étude est de 4% sur l’échantillon complet (5% sur le sous-ensemble des 451 répondants investisseurs).

Les entrepreneurs et le Private Equity 1024 685 Côme

Les entrepreneurs et le Private Equity

Le magazine des affaires a organisé une table ronde de bilan et de perspectives en matière de Private Equity, l’occasion pour Julien Magitteri de partager avec d’autres experts du secteur, Arnaud David, associé au sein du Département Private Equity de Goodwin, Nizar Chayeb, Directeur d’Investissements au sein de l’équipe Solutions d’Investissement en Fonds d’Essling Capital, Olivier Jarrousse, Associé Gérant d’UI Gestion, Pauline Wetter, membre de l’équipe d’investissement en fonds de fonds private equity chez LGT Capital Partners, ou encore François Tranié, associé dans le département Midcap de Meeschaert Capital Partners.

Valorisations et niveaux de multiples élevés dans un contexte macro-économique incertain ; cadence très rythmée des levées ; valeurs de responsabilité sociale, environnementale ou régionale ; volonté d’accompagnement des entreprises (notamment sur des territoires régionaux) au-delà d’une simple logique d’investissement figurent parmi les nombreuses problématiques décortiquées et débattues.

Julien Magitteri a notamment insisté sur la nouvelle dynamique que crée l’arrivée plus massive des entrepreneurs et des Family Offices qui les accompagnent dans le marché du Private Equity, eu égard notamment à des relations plus transparentes et directes entre les investisseurs et le management des entreprises bénéficiaires :

“Ces entrepreneurs souhaitent vérifier que ces solutions sont en adéquation avec leurs principes, leurs valeurs, leur conception des affaires. Ils connaissent parfaitement le domaine du Private Equity car il représente les problématiques qu’ils rencontrent au quotidien : gestion des équipes, orientations stratégiques, levées de fonds, en bref, le développement et la vie d’une entreprise. Idéalement, les entrepreneurs ont besoin d’avoir un contact direct avec le management et de comprendre les stratégies développées par ces sociétés.

Retrouvez le dossier complet dans le numéro de décembre 2019 du magazine des affaires, disponible ici.

Mouvement pour une Economie Bienveillante : faire de la bienveillance un principe de rationalité économique 1024 685 Côme

Mouvement pour une Economie Bienveillante : faire de la bienveillance un principe de rationalité économique

Côme, Le Family Office, rejoint le Mouvement pour une Economie Bienveillante, le #MEB.

Le MEB rassemble des entreprises bienveillantes, engagées et inclusives, qui partagent leur réussite et contribuent ainsi au progrès économique, social et environnemental au bénéfice de tous.

Convaincue qu’une entreprise bienveillante est plus performante et durable, Côme a signé la charte du MEB.

3 principes pour réconcilier le profit et la générosité

A l’initiative de Clara Gaymard et Gonzague de Blignières, les fondateurs de Raise, le MEB réunit des entreprises désireuses de réconcilier le sens et l’action, le monde économique et la société, en adoptant 3 principes simples : donner, agir, ensemble.

DONNER : Dédier, de façon automatique et permanente, une partie de ses ressources économiques à une action philanthropique. Cela peut prendre différentes formes. Par exemple, affecter a priori une partie de son chiffre d’affaires, de son bénéfice et/ou du temps des équipes à des projets généreux et sociaux.

AGIR : Consacrer l’action philanthropique à la raison d’être de l’entreprise, en faveur d’une cause de son propre secteur ou écosystème, afin de privilégier la logique d’impact et de nourrir le sens de l’action.

ENSEMBLE : Associer les salariés aux projets soutenus dont ils sont à la fois experts et acteurs. Les talents s’accomplissent dans une solidarité concrète.

Côme est acteur de la révolution positive, pour que demain soit meilleur qu’aujourd’hui

Il y a quelques mois, Côme a été retenue par le Global Positive Forum, sous le haut patronage d’Emmanuel Macron, en tant que leader dans sa catégorie pour contribuer à l’émergence d’une finance responsable et positive.

En signant la charte #MEB, Côme confirme sa volonté d’accélérer la révolution positive dans l’intérêt des générations futures, pour que demain soit meilleur qu’aujourd’hui.

Côme est désireuse de réconcilier la performance et le lien social, la finance et l’entreprise, avec la création prochaine d’un fonds de dotation philanthropique, dédié à l’accompagnement et à la transmission des savoir-faire d’exception français.